Saviez-vous que l’album « Deux frères » de PNL est resté 5 semaines N°1 du TOP 200 des ventes en France ? Que la musique urbaine détrône la variété dans les parts des productions françaises ? Que la radio reste encore la principale source de découverte d’artistes, de titres ou d’albums ? Ou encore que le single le plus playlisté a été « Balance ton quoi » de la chanteuse ANGELE ?

Non ? Et bien, ça tombe bien ! Le SNEP (Syndicat National de l’Edition Phonographique) a publié récemment une étude sur les performances de la musique enregistrée, au 1er semestre 2019.

Voici ce qu’il y a retenir.

 

LE STREAMING, SOURCE DE CROISSANCE DU MARCHÉ DE LA MUSIQUE ENREGISTRÉE

On ne vous l’apprendra pas, mais le streaming continue d’avoir la cote. C’est d’ailleurs lui qui soutient la croissance significative du marché français.

À lui seul, il représente 175,3 millions d’euros ; soit 93% des revenus numérique (vs 89% au 1er semestre 2018). Ainsi, même si la vente physique baisse de -4%, le marché connait une croissance de +12,7% entre 2018 et 2019.

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Il faut également retenir que les abonnements streaming audio sont désormais la source majeure de création de valeur du marché. À eux seuls, ils ont générés près de 80% du CA du streaming.

 

QU’EST CE QUI MARCHE EN FRANCE ?

Mais alors, du coup, qu’est ce qui marche en France ? Qu’est ce que les Français écoutent ?

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À y regarder de plus près, on constate que les artistes francophones sont les plus populaires auprès du public au cours du 1er semestre 2019.

La jeune génération y côtoie en bonne place les artistes confirmés.

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Et c’est l’urbain qui détrône la variété française, avec 95,2% de part des productions françaises contre 92%.

 

LA RADIO, PREMIÈRE SOURCE DE DÉCOUVERTE D’ARTISTES, DE TITRES OU D’ALBUMS

Même à l’heure du streaming et des playlists découvertes, c’est la radio et la télévision qui restent les premières sources pour découvrir de nouveaux artistes, titres ou albums.

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Pour retrouver le reste de l’étude, c’est par ici