Emilie SicardAujourd’hui, on aimerait vous parler de la sonorisation des points de vente.
« La quoi vous dîtes ? »
Oui, vous avez bien lu ! La sonorisation des points de vente…
Nous n’allons pas parler ici de matériel de diffusion et d’acoustique (même s’il va de soit que cela reste important pour optimiser l’expérience client… cela fera peut-être l’objet d’un prochain article).
Non ! Nous allons aborder un sujet peu traité, souvent délaissé : celui des « playlists » en magasin. Autrement dit, de Marketing sonore.
Pourquoi est-ce si important ?
Selon une étude réalisée par MOOD Media et la SACEM, convaincus que la diffusion de musique convient à toutes les activités (*étude Sept 17), le constat est sans appel : la musique est le loisir préféré des Français.
86% déclarent en écouter tous les jours. Et 3 sur 4 Français ne pourraient pas s’en passer.
De plus, les effets positifs de la musique ne sont plus à prouver. Et il en va de même pour les salariés d’une enseigne. Ainsi, lorsque la sonorisation des points de vente est bien réalisée, cela joue sur le moral, le dynamisme et le bien-être des salariés.
Par rapport aux clients également, les bénéfices d’une bonne sonorisation ne sont pas à prendre à la légère. Elle crée une ambiance et permet aux clients de passer un agréable moment (améliore l’expérience client donc). Et surtout,au delà de cela, elle contribue à la fidélisation de ces derniers tout en participant à l’identification de la marque/enseigne.
En effet, en fonction de son positionnement de marque, de ses valeurs, etc. nous allons devoir proposer une sonorisation qui nous ressemble… et qui ressemble à notre cible. De plus, une sonorisation bien pensée et bien réalisée stimulerait les comportements d’achat.
Jackpot donc !
En résumé
En résumé, une bonne sonorisation des points de vente est essentielle pour l’identification/valorisation de sa marque, la différenciation de ses concurrents, le plaisir client et la commercialisation de ses produits/services tout en obtenant des effet positifs et bénéfiques auprès de ses collaborateurs.
Pour retrouver l’étude complète, c’est par ici !